The Elder Scrolls Online

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source : elderscrollsonline.fr

 

Gamers, gameuses, posons nos manettes et souvenons-nous du temps où nous avions encore une vie, c’est-à-dire avant dimanche dernier et la sortie de TESO.

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source : legamer.com

TESO se déroule dans l’univers de la série des jeux de rôle précédents, un millénaire avant Skyrim (le cinquième opus des Elder Scrolls), soit quelques siècles avant le premier épisode.

 

Le gameplay du jeu s’appuie par ailleurs sur trois factions jouables, ayant pour blason respectif le Lion, le Dragon et un Oiseau de proie (aigle ou phénix).

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source : dualshockers.com

  • Alliance de Daguefilante : Brétons, Orques et Rougegarde.
  • Pacte de Cœurébène : Elfes Noirs, Argoniens et Nordiques.
  • Domaine Aldmeri  : Hauts-Elfes, Elfes des Bois et Khajiits.

Dans The Elder Scrolls Online, le joueur peut revisiter certains lieux familiers déjà vus dans les jeux Elder Scrolls précédents, dont des régions des provinces de Bordeciel et de Morrowind. Le jeu entend se baser sur l’exploration de l’ensemble de l’univers, et reprendre les paysages que nous connaissons, pour conserver l’héritage des jeux Elder Scrolls.

Le développeur promet de nombreuses possibilités quant aux activités des joueurs : de nombreuses quêtes, du PvE immersif et pas forcément répétitif, une exploration d’un monde gigantesque, un système d’artisanat développé comme dans les autres jeux de la licence, et forcément un système de PvP développé et attractif, bref, de quoi nous occuper pendant toutes nos futures journées.

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source : gamekyo.com

 

Marin

 

FAQ

Gamers, Gameuses, posons nos manettes et répondons à vos questions, nous avons décidé pour ce premier avril de répondre à toutes les questions que vous nous avez posées par télépathie.

 

Combien faut-il de nains pour creuser en deux jours un tunnel de 28 mètres dans du granit ?

Exactement autant de nains que ceux nécessaires pour creuser dans du granit un tunnel de 14 mètres en un jour.

 

Pourquoi Elrond n’a-t-il pas tiré sur Isildur puis jeté l’anneau unique dans le feu de la montagne du destin ?

Car s’il l’avait fait, jamais l’histoire du Seigneur des Anneaux n’aurait existé, nous privant des 3 meilleurs films jamais réalisés.

 

Malgré votre amour pour le Seigneur des Anneaux, pouvez-vous en faire une critique négative ?

Nous ne pouvons pas critiquer les livres, cependant nous reprochons au premier film l’absence de Tom Bombadil qui aurait selon nous largement sa place dans la version longue.

 

Stark ou Lannister ?

Tyrion Lannister et Arya Stark. Mais aussi Daenerys Targaryen et Hodor.

 

Pourquoi dans Star Wars, les vaisseaux font-ils du bruit dans l’espace ?

« Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine… ». Tellement lointaine que la télékinésie est à la portée d’une multitude d’individus et que le fait qu’une personne très haut placée, âgée de plus de 800 ans n’ait toujours pas apprit les règles élémentaires de grammaire. Pour résumer :  c’est un film de science-fiction !!!

 

Xbox ou Playstation ? Mario ou Sonic ?

Alors dans le groupe nous sommes 2 sur Playstation contre 1 sur Xbox. Et pour Mario et Sonic nous avons un vote chacun et un sans opinion.

 

Vos Youtubers préférés ?

Vous l’aurez deviné vu qu’on les a cités plus d’une fois : Joueur du Grenier, Benzaie, Karim Debbache et Usul (qui sont en réalité sur jeuxvidéo.com et non sur Youtube et qui ont tous les deux arrêté leur émission). Après qui ne touche pas aux jeux vidéo il y a Mathieu Sommet présentant SLG, l’équipe du Golden Moustache et surtout Suricate. Et en Youtubers américains : Smooth McGroove, Smosh et Tomska.

 

Pour ou contre ?

Pour.

 

Quelle est la différence entre un couteau ?

L’un est un couvert.

 

Quels sont vos jeux vidéo préférés ?

Qui sommes-nous ?

 

Croyez-vous à la fin du monde en 2012 ?

Oui.

 

Quelle est la chose qui vous fait le plus rager dans les jeux vidéo ?

Mais nous ne rageons jamais devant un jeu vidéo, c’est une activité relaxante et calme dans toutes les circonstances. Plus sérieusement ça dépend des jeux. Dans les JRPG à la Final Fantasy c’est lorsqu’on se prend un Game Over après que l’ennemi nous ai enchaîné 10 fois sans qu’on puisse jouer une seule fois. Dans les FPS ce serait l’esprit qui règne dernièrement dans les parties en ligne. Dans Animal Crossing c’est Reseti, l’insupportable taupe du village. Dans Flappy Bird ce sont tout simplement les tuyaux qu’on ne cesse de se prendre dans la face, bref il y a des millions de raisons de rager sur certains jeux vidéo, mais il faut que ça reste bon enfant.

 

Avez-vous des jeux à nous conseiller ?

On ne va pas vous répéter une énième fois que les Final Fantasy VII/X/XII font partie des meilleurs jeux du monde donc vous prenez l’un de ces jeux, vous l’adaptez sur un autre univers comme celui du Seigneur des Anneaux par exemple et vous obtenez Le Seigneur des Anneaux : Le Tiers Âge. En jeu de combat, vous pouvez vous essayer à Super Smash Browl, Soul Calibur, Budokai ou Naruto Shipuden. Sinon on a adoré tous les jeux de chez Infogrames…. POISSON D’AVRIL !!

 

Le style de musique que vous écoutez ?

On est très ouverts musicalement, mais le top, ça reste les OST de jeux vidéo. Notre coup de cœur étant :  » The Music »

 

C’est sur cette magnifique tentative de Rick Roll que ce fini cette FAQ. Retournez à vos occupations, prenez soin de vos tulipes, on vous aime P*****N ! Tendresse et chocolat.

 

Arnaud

Diablo III

Gamers, Gameuses, posons nos manettes et souvenons-nous de la première apparition du Démon Primordial. C’est bon, vous visualisez ? Eh bien souvenez-vous maintenant de sa 2ème apparition ! Pas perdu ? Eh bien ce sale vilain a fait une dernière apparition le 15 mai 2012, avec la sortie d’un jeu attendu depuis 12 ans ! Mesdames, Messieurs, une ovation de folie pour Diablo !! Nous n’évoquerons pas toute la licence aujourd’hui, seulement ce dernier opus. « Bapourkwadonk ? » Parce que c’est mon article ! Nan mais…

Plus sérieusement, si nous présenterons Diablo III et l’utiliserons comme objet de comparaison avec les autres opus de la série, c’est parce que ce dernier s’avère être une réussite assez particulière : très controversé à sa sortie et de plus en plus apprécié au fur et à mesure du temps, revenons sur ce jeu qui marque au fer rouge 2012.

Avant tout commencement réel, posons les bases de Diablo : c’est un RPG à la vue RTS se jouant soit en solo, soit en multijoueur. La particularité du jeu réside dans le fait que le joueur se verra limité à l’histoire uniquement, et devra donc répéter cette dernière pour augmenter son niveau, uniquement en augmentant le niveau de difficulté une fois le précédent battu. Ça vous paraît répétitif ? Eh bien oui, ça peut l’être, mais la magie de Blizzard fait que l’on ne peut pas se lasser de refaire la même quête avec seulement des monstres plus résistants et coriaces. Pour pouvoir agrandir son public, Blizzard a sorti il y a peu de temps (environ une semaine) une extension, Diablo III : Reapers of Soul ajoutant un mode de jeu, le mode aventure, une classe jouable et 10 niveaux supplémentaires. On n’oubliera pas l’indémodable mode PvP qui a mis sont temps à faire son apparition et qui ne semble être encore qu’un embryon. Bref, vous avez saisi, Diablo, c’est une licence qui arrive à rendre accro en se limitant à un mode Histoire et un mode PvP. Chapeau nan ?

Maintenant, centrons-nous sur Diablo III. Qu’est-ce qui lui a causé un tel succès ? Pour être honnête, la plupart des achats de Diablo III étaient dus à une chose : l’attente. En effet, après 12 ans d’attente entre Diablo II et Diablo III, les joueurs, confiants et surtout fans, ont acheté parce que « c’est écrit Diablo, donc c’est un bon jeu ». Quelle ne fut pas leur surprise face aux nombreuses failles que présentait le jeu… Moins de classe jouable, des modes de difficulté à échelle exponentielle, un système de loot à la ramasse, pas de PvP, des problèmes de serveurs constants et impossibilité de jouer hors-ligne, jeu à télécharger (et Dieu quel long téléchargement)… Lourd comme bilan non ? Mais qu’importe, les joueurs avaient enfin leur DIII, et comme c’est presque un rituel chez Blizzard, les joueurs savaient qu’il fallait attendre les MaJ des 6 prochains mois pour que le jeu se voit optimiser. Et en effet ! Après 6 mois d’amélioration, le jeu avait revu ses modes de difficulté, son système de loot, l’apparition du PvP et de quêtes annexes et autres add-on qui donnaient enfin au jeu une profondeur qui n’était pas là avant.

Passons maintenant au gameplay lui-même : comme dit plus haut, à la vue RTS et aux allures de Beat them all, vous contrôlez un personnage qui grimpera de niveau, améliorera ses statistiques (dextérité, force, magie, etc), débloquera des sorts et des variantes d’un même sort (appelées runes, elles permettent d’ajouter un effet secondaire à votre sort, ce qui permettait, malgré un nombre de sort moins important que les premiers opus, de changer radicalement son gameplay selon l’emploi de telle ou telle rune) et lootera des équipements sur des ennemis, les chances de loot d’objets plus rares, et donc plus puissants, augmentant proportionnellement avec la puissance de l’ennemi que l’on a en face de soit. Avec des graphismes exceptionnels, si votre machine peut supporter, avec un framerate correct, les paramètres vidéo à leur maximum, vous pouvez vous assurer que la moindre particule de votre sort de boule de feu ardente et dévastatrice éclatant sur le plastron d’un soldat des enfers vorace et cupide vous fera frémir. Et croyez-moi, des particules, vous en verrez ! Petit point intéressant bien que secondaire, l’utilisation de telle ou telle rune changera l’animation de votre sort (couleur, effet etc) et ajoutera une dimension non négligeable aux graphismes.

Nous pourrions parler du scénario, mais il s’agirait d’un spoil interplanétaire, et entre nous, le scénario n’est pas des plus recherché. Sans être vide et translucide, disons qu’il ne ferait pas la lecture de chevet d’Hitchcock. Petit synopsis rapide : Descendant d’une civilisation perdue depuis des millénaires, votre quête vers la chute d’une mystérieuse étoile vous mènera vers la réapparition de votre pire ennemi et de ses acolytes du mal. Saurez-vous l’arrêter avant la destruction de votre monde ?

Mes amis, sachez que je suis un fervent défenseur de la saga Diablo. Elle a forgé une partie majeure de mon expérience sur les RPG et ce, pendant facilement 10 ans ! Ayant acquis le jeu dés sa sortie, Diablo II a été le jeu qui m’a duré le plus longtemps entre les mains et jamais la lassitude ne m’a gagné. Permettre au joueur d’évoluer sous différents horizons selon sa classe, ses choix, son implication dans le farm ou l’envie de rusher le jeu, chacun jouait à sa façon, et pourtant, nous étions tous centré et réunis autour de la même histoire que nous répétions sans cesse. Et même si Diablo II a su me conquérir bien plus que Diablo III, je ne pourrai que vous le conseiller car il s’agit d’un véritable délice vidéo-ludique.

 

Augustin

Les MMORPG

Gamers, gameuses, posons nos manettes et souvenons-nous du temps où nous pouvions pour la première fois jouer en étant des milliers de joueurs sur le même serveur.

Aujourd’hui je vais vous parler des MMORPG, qu’est ce que ça veut dire ? Tout simplement jeux de rôle en ligne massivement multijoueur.

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Source : spong.com

Le terme MMORPG aurait été utilisé pour la première fois en 1996 par Trip Hawkins, le fondateur d’Electronic Arts, à la suite de l’usage répété des expressions « massivement multijoueur » (massively multiplayer) et « univers persistant en 3D » (3D persistent world), pour tenter de décrire aux médias son nouveau jeu, Meridian 59.

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source le-serpent-retrogamer.org

Même si les MMORPG tels que nous les connaissons aujourd’hui ont été créés au début des années 1990, leur origine remonte en fait à la fin des années 1970.

Un jeu de rôle en ligne massivement multijoueur  est un type de jeu vidéo associant le jeu de rôle et le jeu en ligne massivement multijoueur, permettant à un grand nombre de personnes d’interagir simultanément dans un monde virtuel qui est aussi un monde persistant, c’est-à-dire qu’il continue à évoluer lorsque le joueur n’est pas connecté.

Ce type de jeu, de par la persistance de l’environnement et l’implication qu’il demande, crée des rapports sociaux entre joueurs particulièrement forts, avec l’apparition de phénomènes inédits, comme les communautés virtuelles de joueurs et les risques de dépendance ludique.

Le joueur est représenté par un avatar, personnage qu’il crée puis fait progresser dans un monde virtuel d’inspiration fantastique, de science-fiction ou de super-héros, riche en aventures. Ce faisant, il interagit avec l’environnement contrôlé par le programme et avec les autres joueurs.

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source : wired.com

La majorité des MMORPG (du moins les plus anciens) ont pour thème le médiéval-fantastique, comme l’univers décrit dans l’ancêtre des jeux de rôle, Donjons et Dragons. Les genres de la fantasy ou de l’heroic fantasy, étroitement mêlés sont également très présents.

Ces MMORPG se déroulent dans des mondes parallèles mythiques de type médiéval ou antique où cohabitent généralement héros, guerriers, créatures imaginaires, magie et sorcellerie, cultures anciennes et éléments surnaturels. Ce thème a été utilisé dans des MMORPG tels que Ultima Online, Lineage, Everquest, Rappelz, World of Warcraft, Metin2 ou encore Archlord.

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source : gamebreaker.tv

D’autres utilisent en plus des éléments futuristes de science-fiction, tels que Anarchy Online, Eve Online ou Star Wars Galaxies.

Une tendance actuelle est d’utiliser une franchise populaire, qui garantit un certain succès en utilisant un monde déjà bien connu du public. C’est le cas par exemple de World of Warcraft qui reprend l’univers de Warcraft, de Star Wars Galaxies qui reprend celui de Star Wars, du Seigneur des Anneaux Online qui reprend le thème développé dans le livre Le Seigneur des anneaux ou de City of Heroes qui propose au joueur d’incarner un super-héros dans la lignée des comics américains.

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source : jvn.com

Dans la plupart des MMORPG, le principal but est de faire progresser son personnage. Il existe différentes manières de faire progresser son personnage. Durant la progression du scénario, le personnage progresse dans le monde virtuel selon un scénario prédéfini. Contrairement au jeu de rôle classique sur papier, le scénario d’un jeu vidéo est régi par des algorithmes. Cela rend les scénarios des jeux vidéo plus rigides que ceux généralement pratiqués sur papier. Néanmoins certains MMORPG permettent à leurs joueurs de faire de nombreux choix de carrière, d’autres sont réputés très rigides. Lors de la progression de l’équipement, au cours de ses diverses péripéties, le joueur sera amené à progresser et s’améliorer par l’acquisition de nouvelles pièces d’équipement.

Lors de la progression par expérience, beaucoup de MMORPG reprennent le concept des points d’expériences, afin d’atteindre de nouveaux niveaux ou compétences permettant à son personnage de devenir meilleur en de nombreux points. Cette progression se fait de deux manières distinctes. Soit en accomplissant des quêtes, c’est-à-dire des missions données par un PNJ, soit en tuant des monstres gérés par l’environnement. Ces deux actions rapporteront des points d’expérience (XP), le plus souvent en quantité proportionnelle à la difficulté de la tâche.

  • Joueurs contre environnement (PvE : player versus environment, ou PvM : Player versus Monster) : collaboration entre joueurs pour affronter l’environnement ou des créatures contrôlés par l’ordinateur.
  • Joueur contre joueur (PvP : Player versus Player) : les joueurs s’affrontent entre eux.
  • Royaume contre royaume (RvR : Realm versus Realm) : forme de PvP de groupe, entre joueurs de faction ou royaumes adverses.
  • Instances, permettant de dupliquer une zone d’un monde virtuel et ainsi éviter les zones surpeuplées et augmenter la difficulté.
  • Personnages non joueurs (PNJ) (NPC : Non Player Character) : personnages non joueurs qui sont là pour vous vendre plusieurs items (objets), vous en acheter, effectuer des échanges automatiques avec vous, vous proposer des quêtes…
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source : animetide.blogspot.com

Étant de plus en plus évolués et de plus en plus beaux, les MMORPG nous offre une immersion quasi-totale. Il ne nous reste plus qu’a attendre l’arrivée du premier MMORPG intégrant un système de réalité virtuel pour pouvoir vivre les mêmes aventures décrites dans mes précédents posts sur les mangas Sword Art Online et Hunter x Hunter.

Marin

« Communauté », un bien joli mot

Gamers, gameuses, posons nos manettes et souvenons-nous du temps où les jeux vidéo étaient un moyen de rassembler les gens et non les diviser. Vous ne connaissez pas? C’est vrai que c’est assez lointain… Comme annoncé dans mon précédent article, le sujet d’aujourd’hui est un terrain glissant : l’évolution de la mentalité des joueurs et des soi-disant « communautés ». Revenons quelques années en arrière : que ce soit par la découverte d’un nouveau jeu ou le partage d’un coup de cœur commun, les jeux vidéo permettaient de rassembler les joueurs. On pouvait noter par-ci par-là quelques pro-sony, pro-nintendo ou meme pro-sega (oui, c’était pas hier), mais rien de bien sanglant : les joueurs basaient leur préférence surtout sur l’unique console (ou les quelques) qu’ils possédaient sans réellement connaître les concurrents. Il était plus facile (tout comme aujourd’hui), de valoriser ce que l’on connaissait et dénigrer l’inconnu que de tenter une ouverture chez les autres maisons de jeux vidéo. Tel un adhérent à un parti politique, on choisissait son camp ET ON LE GARDAIT! Chaque boîte avait ses caractéristiques : Sega et Sony étaient plus pour les vrais gamers (sony arrivait déjà au moment où sega se cassait la figure) et Nintendo était plus puéril mais convivial. Ainsi, voulant se donner des grands airs, on pouvait évoquer les prouesses sanglantes de Mortal Kombat ou les records de vitesse de Sonic réalisés sur notre Genesis (Mega-Drive) tandis que les autres parlaient d’un moment agréable en compagnie de la famille sur Super Mario Bros. Alors certes, une rivalité certaine existait, mais on était loin de la situation actuelle : vous trouverez sûrement ce discours répétitif et déjà rabâché des centaines de fois, mais quand j’entends « La communauté de CoD est pourrie », je ris, je reris et je me roule par terre. Une communauté? Voyons… Comment définir une communauté? Disons « un groupe de personne d’origines quelconques se rassemblant en unique groupuscule pour partager des intérêts communs et avancer ensemble » ? Ça vous paraît plausible et assez large ? Il s’agit d’une définition faite maison donc à vous de montrer votre désaccord, mais considérons cette définition juste. Maintenant, lançons le matchmaking de Call of Duty : Modern Warfare (choix personnel, celui qui m’a ouvert définitivement aux FPS et aux compétitions). Patientons et hop, nous voici dans une partie! Ah! Un français. Parlons un peu avec lui. Maintenant, vous pouvez être sûr que, dans l’ordre décroissant de probabilité, l’une des possibilités suivantes se produira :

  • Le joueur se trouve dans votre équipe. Il jouera selon son envie, ne cherchera pas le travail d’équipe mais seulement à excéder votre score pour être le premier de son équipe et de la partie. Si votre équipe perd, il rejettera la faute sur le niveau trop bas de son équipe ou sur les adversaires jouant de façon peu louable (selon son jugement).
  • Le joueur est dans l’équipe adverse. Vous êtes séparés par le jeu et ainsi, il se devra de vous tuer avant que vous ne le fassiez. A la fin de la partie, si votre équipe gagne et qu’il se trouve qu’il n’a pas réussi à vous tuer, vous serez soit un tricheur, soit un campeur, soit autre chose encore.
  • Le joueur est de bonne foi et qu’il soit dans votre équipe ou non, il s’arrangera pour que soit vous puissiez mieux jouer, soit pour vous féliciter si votre victoire est légitime.

Les premiers cas seront parfois (et trop souvent à mon goût) mêlés à des insanités de tout genre car il est toujours facile de se défouler et d’insulter derrière son écran. Mais qu’en est-il de notre communauté dans ce cas ? Sommes-nous toujours réunis autour d’intérêts communs pour avancer ensemble alors qu’une même nationalité ne permet qu’une meilleure compréhension du panel d’insultes employées ? Devons-nous nous scinder encore une fois en 2 entre ceux qui souhaitent jouer dans la bonne humeur et le respect des autres, pour le plaisir ou toujours dans le but de gagner et ceux qui sont ici uniquement dans le but de torturer mentalement l’adversaire à cause d’un score pixelisé plus haut ? Et dites-vous que les cas cités sont dans le cas où les joueurs jouent ensemble. Il s’agit ainsi d’une situation où la compétition de machine est à oublier car les serveurs ne sont pas mélangés entre consoles. La compétitivité peut ainsi se trouver démesurée dans le cas où 2 joueurs discutent d’un même jeu sur plateforme différente.

Certains d’entre vous diront, à tort, qu’il s’agit ici du cas des FPS et surtout de Call of Duty. Sachez que ceci est purement et simplement faux : ce groupe de joueurs malsains ne fait que suivre l’affluence, ainsi, les jeux à grand succès accueilleront le plus de Kevins (terme péjoratif pour désigner les mauvais joueurs au vocabulaire sous-évolué et aux pulsions primaires) et ceci dépendra donc de la tendance. Les FPS éyant été les plus gros succès de ces dernières années, on verra ainsi leur concentration plus forte sur ces serveurs. Mais chaque genre connait son lot de joueurs douteux, et faire une généralité basée sur les genres serait un avis erroné et facile.

« Alors pourquoi faire ce post » vous demandez-vous sûrement. « Règlement de compte ? Envie personnelle ? Rancœur contre ces fausses communautés ? » Eh bien il s’agit d’un mélange des 3. J’entends trop de joueurs se plaindre de leur « communauté » sans réagir et même se conduire de la même façon que ceux qu’ils condamnent car « ils font pareil ». Je trouve de ces joueurs qui ne trouvent du plaisir que dans le gâchis des parties des autres et j’ai été grandement dégoûté de beaucoup de jeux à cause de trop de cas du genre. Je ne continuerai pas sur le sujet qui ne pourrait de toute façon être développé pertinemment qu’au cours d’un débat. Mais je vous laisserai réfléchir sur cette question ? Devons-nous encore parler de communauté alors que le rassemblement n’entraîne qu’une meilleure division ?

 

P.S. : Article un peu moins rigolo que d’habitude et sans image, j’espère que ça ne vous dépaysera pas trop.

 

Augustin

Gamers

j71dr1a3_biggeramers, Gameuses, posons nos manettes et souvenons-nous du temps où le premier article de ce blog (la difficulté). Nous en sommes aujourd’hui au 50e article en comptant les hors-séries. Vous n’êtes pas sans savoir que nous réalisons ce blog dans le cadre de notre scolarité. Si vous vous demandez le genre d’étude à faire pour être noté sur ce genre d’exercice, c’est simple, nous appartenons au département MMI (Métiers du Multimédia et de l’Internet), à l’IUT de Vélizy, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Si nous avons décidé de faire une sorte de bilan aujourd’hui c’est car cet exercice prend fin dans une semaine jour pour jour (soit jeudi 3 avril) et qu’il nous tenait à cœur de faire un récapitulatif.

Tout d’abord nous tenons à préciser une chose, le fait que la réalisation de ce blog soit notée n’a en rien influé la façon de le tenir, cet exercice a plus été vu par nous comme une opportunité de parler d’une passion que nous avions en commun. Nous sommes conscients de ne pas avoir creusé en profondeur chaque sujet abordé, par manque de temps mais aussi pour être sûr de ne pas vous donner des informations erronées.

Nous avons essayé de parler des licences les plus importantes, ayant le plus marqué les jeux vidéo, cependant il reste quelques licences importantes que nous n’avons pas pu évoquer, souvent parce qu’aucun de nous trois ne connaissait assez bien ces licences mais aussi car on ne pouvait pas parler de toutes. Nous avons donc une petite pensée aux fans de Kirby, Megaman, Metroid, The Elder Scrolls etc (il n’est pas exclu que d’ici une semaine des articles sur ces licences soient publiés). Nous n’avons pas non plus abordé des licences tels que Fifa, PES, NBA live et autres jeux de sport pour la simple raison que nous n’avons pas trouvé l’évolution de ces licences assez pertinente. C’est pour cela que l’article sur Madden a été catégorisé en hors série (mais aussi car il a été publié un dimanche). Tout naturellement nous n’avons pas parlé de licence trop récente de par le manque d’évolution qu’elles ont connu (Assassin’s Creed est l’exception qui confirme la règle).

Nous espérons que vous avez apprécié nos articles, qu’ils vous ont rappelé certains jeux auxquels vous aviez joué avant, qu’ils vous ont enseigné certaines choses ou qu’ils ont su vous faire découvrir des jeux, des licences ou même l’univers des jeux vidéo. Il nous reste donc une semaine à assurer notre rôle,

 

Arnaud

Titanfall, le dernier né des FPS

Gamers, Gameuses, posons nos manettes et souvenons-nous du temps où les FPS ressemblaient à ça :

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source : nofrag.com

et regardons on nous en somme aujourd’hui, avec le dernier né du genre : Titanfall.

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source : gensyde.com

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source : gamrrage.com

Titanfall est un jeu de tir à la première personne situé dans un univers futuriste, où des factions ennemies, l’IMC, une riche société terrestre qui désire exploiter de nouveaux territoires spatiaux afin d’engranger des revenus, et la Milice, essentiellement formée de pirates, bandits et voleurs, bien décidés à empêcher l’IMC de s’en mettre plein les poches, s’affrontent. Le jeu en lui-même consiste en des affrontements opposants des soldats d’infanterie très agiles, équipés de jet-packs, capables de doubles sauts et de courir sur les murs, et des méchas, appelés Titans, de plusieurs mètres de haut lourdement armés.

les titans

source : reddit.com

Le jeu se présente comme un FPS classique; en incarnant les soldats, on peut avoir accès à différentes classes, armes, et capacités. Il existe trois catégories de Titans : tout d’abord, l' »Atlas », qui fait office de classe intermédiaire; ce robot n’est ni lourd, ni léger, il est idéal pour un soutien sur le champ de bataille. Ensuite, il y a « L’Ogre » ; ce titan, le plus lourd, est extrêmement imposant et inflige de lourds dégâts ; il est même capable d’arracher des membres aux autres titans au cours d’un combat. Pour finir, le Stryder, le plus léger, rapide et moderne des titans est capable de prendre de vitesse même les pilotes, les soldats se déplaçant à pied, pourtant exceptionnellement rapides.

FPS futuriste, dopé à l’action pure et à la nervosité alliciante, Titanfall s’inscrit dans une tradition qui pourra séduire les amoureux du shooter. Car sa recette a tout du cocktail détonant, et permet aux amateurs de FPS de vivre une expérience originale et interconnectée

choix perso

source : jeuxactu.com

titan gameplay

source : gensyde.com

Marin

The Legend of Zelda Twilight Princess

Twilight Princess

source : biasedvideogamerblog.com

Gamers, Gameuses, posons nos manettes et souvenons-nous du temps où nous pouvions nous métamorphoser en loup sans que la pleine Lune n’y soit pour quelque chose. Twilight Princess est le treizième épisode de la série The Legend of Zelda et le premier à sortir sur Wii. Dans cet opus nous incarnons une fois de plus le légendaire Link, jeune fermier du royaume d’Hyrule. Alors que la vie se passe sans embûche dans le village de Link , deux de ses amis dont Iria la fille du chef du village, se font kidnapper par une horde de chevaucheurs de sangliers (eh bah ! c’est pas banal ! ). Partant à leur recherche, Link se retrouve au royaume du Crépuscule où il apparaît alors sous la forme d’un loup à cause d’un cristal d’ombre. Il rencontre alors une habitante du Crépuscule, Midona, qui à l’air bien décidé à utiliser Link afin de sauver la princesse Zelda ainsi que l’ensemble du royaume d’Hyrule qui est envahi par les créatures du Crépuscule.

Hyrule

source : gameology.org

 

Link (loup) & Midona

source : zelda.wikia.com

Dans sa quête épique, Link et Midona doivent libérer une à une les 7 contrées composant le royaume d’Hyrule. Comme dans chaque jeu de la licence, l’on doit passer par plusieurs temples recelant des énigmes avec à la clé un boss, un réceptacle de cœur et un nouvel objet/arme. Le mécanisme un peu répétitif n’est malgré tout loin d’être lassant, et ce grâce à la diversité d’ambiance et de décors de chaque contrée d’Hyrule. On a rarement vu une telle diversité dans un Zelda car en plus des 7 contrées ayant une identité bien définie, le royaume du Crépuscule est lui aussi complètement différent du royaume d’Hyrule. De plus le gameplay lorsque Link est humain est différent de celui où il est sous sa forme animale où il nous est alors possible de parler aux animaux, d’utiliser notre 6e sens, de creuser le sol…   Ce qui fait de Twilight Princess un des meilleurs Zelda est donc sa richesse et sa diversité, et il ne serait pas aussi haut dans mon estime si sa bande-son n’était pas irréprochable, et heureusement, elle l’est, chaque lieu ayant sa propre musique, dès que l’on change de contré l’ambiance sonore nous en apprend beaucoup sur l’identité du lieu où l’on se trouve. Jugez par vous-mêmes :

Si la Wii est souvent la risée des consoles lorsqu’on parle de graphismes, elle n’a pas à rougir pour ce qui est de Twilight Princess, se voulant réalistes mais ayant comme barrière les capacités de la console, les graphismes du jeu sont parmi les plus beaux de la Wii. On est loin de ceux de la PS3 ou de la Xbox 360 de la même génération mais c’est exactement ce qu’on attend d’un jeu Zelda pour que cela colle avec l’ambiance globale de la licence. Pour sa première apparition sur cette console le résultat est plus que satisfaisant et l’on a entre les mains un des meilleurs jeux de la licence, certains gamers m’ont même avoué avoir acheté la Wii uniquement pour Zelda Twilight Princess.

Arnaud

Le PvP

Gamers, Gameuses, posons nos gourdins et faisons la paix un moment ! Oui, arrêtons ces combats sanglants et barbares entre joueurs et serrons-nous la main … DE TOUTES NOS FORCES !! BRISEZ LA MAIN DE VOTRE VOISIN ET HURLEZ SUR SON CORPS INANIMÉ ! Guerriers, sortez les épées, affûtez les haches et optimisez vos stuffs, aujourd’hui c’est PvP time.

source : pvpdoc.com

Alors, pour ceux qui d’entre vous se demandent « mékékecé le pévépé ? » eh bien laissez moi éclairer vos lanternes : abréviation de l’expression anglaise « player versus player », qui signifie « joueur contre joueur » (si vous êtes un nudiste de l’anglais et que vous ne l’aviez pas compris). Ainsi, ce terme regroupe tout genre de gameplay mettant en œuvre un affrontement entre des joueurs. Ce terme est souvent rattaché aux RPG alors que si l’on se réfère à la traduction littérale, il s’agit simplement d’un joueur contre un autre. Aujourd’hui, plutôt que de faire un historique de l’évolution du PvP (ce qui serait en soit absurde car nous pourrions parler de PvP dés Tennis for two, ce qui remonte à 1958), nous allons tenter de différencier les genres de PvP : en effet, on ne notera pas d’évolution ; deux joueurs qui s’affrontent (ou plus) chercheront toujours la victoire sur leur(s) ennemi(s). Seuls les genres de jeux influenceront le genre de PvP.

PvP WoW

source : imgmr.com

Commençons par le champ le plus évocateur de ce terme, les RPG. Le terme de PvP dans les RPG s’oppose au PvE, Play versus Environment, ce qui permet donc de différencier le combat entre joueur et contre intelligence artificielle. Si le PvP est très intéressant dans les RPG, c’est grâce à trois facteurs majeurs : les joueurs auront des niveaux différents, et ainsi des stuffs (équipement) et des compétences de niveaux différents, le joueur de plus niveau étant généralement avantagé mais on notera aussi la différence de stratégie employée et la différence de classe. Donnons un exemple pour illustrer ceci : pour ceux connaissant WoW, imaginons 2 mages de même template (spécialisation des compétences), de même niveau et dont l’expérience du jeu est semblable, mais le Mage A a un stuff bien supérieur au Mage B : si l’on considère que ces derniers agissent de façon semblable au cours du combat (même spécialisation, expérience et niveau, et donc de grandes chances que les réflexes soient pareils eux-aussi), le Mage A sera dans presque tous les cas le vainqueur. Maintenant, si l’on ajoute au Mage B une expérience de jeu plus grande et un esprit tactique plus développé, il est loin d’être probable que ce dernier perdre à chaque duel face au Mage A. Ainsi, ce qui changera ne sera pas uniquement la puissance même du personnage mais aussi un esprit d’adaptation selon les situations. Mais si nous changeons le match up (organisation du match) et que nous mettons un mage face à un guerrier, l’un étant plutôt assez peu résistant mais aux dommages massifs et l’autre aux dommages corrects mais à la résistance garguentuesque, qui sera vainqueur cette fois-ci ? Eh bien de nombreux paramètres entrent en compte et il sera très difficile de théoriser une issue systématique de ce genre de combat. Vous l’aurez donc compris, le PvP dans les RPG, c’est sympa. « -Wouah, trop bien ta conclusion ». Bon, je reformule : puisque l’expérience ne compte pas uniquement et que ceux qui se seront assez acharné sur leur personnage pour les optimiser tant sur leur stuff que leurs compétences, pourront aussi s’avérer être des joueurs redoutables en PvP.

Score de fin de partie

source : gazzakid.deviantart.com

Mais pourquoi devoir faire un listing d’autant de situations et de facteurs influençant l’issue du combat ? Eh bien parce que si l’on considère des types de jeu différents, tel ou tel facteur sera majeur ou d’autres se rajouteront. Prenons un autre genre, les FPS online. Pour citer la licence incontournable Call of Duty, un joueur novice (appelée « Newbie » ou « Noob ») subira les pires défaites de sa vie en commençant car il fera face à des joueurs plus expérimentés, et comme le choix des armes reste une question de goût, on ne pourra que rarement parler d’arme surpuissante ou supérieure à une autre (sauf dans quelques cas comme l’UMP 45 dans MW2… passons). Le joueur devra donc faire face à des joueurs de niveau allant du sien à un niveau excellent et verra ainsi ses parties assez déséquilibrées : tantôt satisfaisante, tantôt catastrophique. Ici, seule l’expérience acquise au bout de 6 mois de jeu ou plus pourra faire la différence.(Parlant en connaissance de cause, j’ai commencé Call of Duty à un niveau normal pour finir à un niveau de team européenne. Mais passons les détails personnels.) Beaucoup diront que la connexion internet joue un rôle et que la chance peut toujours faire flancher la partie, mais soyons honnêtes, il s’agit ici d’un cas sur 20 minimum. Bien que ceci semble être une grosse proportion, comptez le nombre de « coup de chance » ou de « foutus bugs de m***** » intervenus au cours de 50 parties, il s’agit de cas mineurs.

Avant de conclure, considérons un dernier genre : les RTS. En effet, il s’agit d’un cas presque plus intéressant que tous les autres. Je vais tenter de faire court : il s’agit ici, comme toujours, d’expérience vécue du jeu mais aussi de stratégie (forcément dans les RTS). Je vais prendre comme exemple un de mes RTS favori, déjà évoqué dans l’article leur étant dédié, Dawn of War. Avec son mode campagne riche et la possibilité de combat contre une IA sublimement bien dosée dans sa difficulté, le joueur pourra s’entraîner durement en changeant les niveaux de difficulté, les maps et les races à affronter (chacune ayant ses spécialités, points forts et points faibles). Il pourra ainsi développer des stratégies, des tactiques et se montrer ainsi déjà excellent lors de sa première partie en ligne. Mais l’expérience garde une marge majeure dans l’issue du combat : en effet, puisqu’une intelligence artificielle ne peut égaler la capacité d’adaptation d’un humain expérimentée, un joueur ne pourra pas devenir professionnel sans devoir sentir à maintes reprises le poids humiliant de la défaite.

Vous l’aurez compris, le PvP est sujet intéressant car différent selon tel ou tel jeu. Mais ce dernier recèle une faiblesse majeure commune à tous les genres : l’arrogance des joueurs et le comportement de la communauté d’un même jeu. Puisque le PvP n’est qu’une partie d’affrontement de capacités et de différence de niveau, certains à la victoire peu noble ou à la défaite peu sport se verront alors devenir de véritables puis à insanité dans l’espoir de regagner leur dignité perdue. Mais il s’agit d’un autre sujet : l’évolution de la communauté du jeu vidéo ? Mmmmh…. intéressant….

 

Augustin

Final Fantasy X-2

source : ffworld.com

Gamers, Gameuses – NON ne posez pas vos manettes cette fois-ci, brandissez-les avec fierté et joie, car l’heure est à la gaieté. Nous sommes le Samedi 22 Mars et cette date correspond pour beaucoup d’entre nous, le J+1. Qu’y avait-il le jour J ? Mesdames et messieurs, veuillez accueillir Final Fantasy X:X-2 HD Remaster. Avec un tel nom, on s’attend presque à parler d’une stratégie militaire américaine, mais il s’agit, comme l’auront compris la plupart d’entre vous, d’un remake en haute définition des jeux Final Fantasy X et X-2 en un seul jeu sur PS3. Comme vous l’aurez compris, Arnaud est un fan incontestable du X. Il s’agit en effet d’un des meilleurs opus. Et bien que les FF VII et XII soient aussi sur ma liste de mes jeux préférés, il est de mon devoir de vous présenter FF X-2, car il s’agit de l’un de mes premiers jeux sur PS2 (et quelle façon de commencer sur PS2 !). Simple précision, il s’agit d’un jeu excellent sur lequel j’ai passé beaucoup de temps, mais je ne serai pas autant passionné qu’Arnaud l’a été dans son article de Jeudi. Allez, trêve de bavardage, l’heure est aux chimères, vétisphères et aux dictionnaires d’Al Bhed. Vous pouvez poser vos manettes maintenant.

YUna

source : jeuxvideosduweb.free.fr

Vous incarnez ici Yuna, même héroïne que dans le premier opus, qui ici ne sera plus invocatrice et sera en combat contre ses anciennes amies qu’elle invoquait elle-même : les chimères.. J’éviterai tout spoil scénaristique et je vous laisserai donc découvrir par vous même quel est le lien logique entre FFX et FFX-2, je vous annoncerai seulement que cette fois-ci, Tidus ne sera qu’un personnage secondaire de l’histoire qui n’apparaîtra que rarement. Mais qu’importe, que dire de ce FF X-2.

source : airpg.fr

Bien que ce jeu soit une suite d’un autre jeu Final Fantasy (ce qui, en soi, est très rare malgré le nombre d’opus que présente la saga), le système de combat est bien différent du premier opus. Alors que l’on a clairement du combat tour par tour dans FF X, on aura ici u système plus proche de FF VII : les personnages chargeront leurs attaques et ce chargement se fera pendant x secondes. Seulement, ces secondes pourront être utilisées par l’adversaire pour vous attaquer, vous ne serez donc pas invulnérable si vous êtes inactifs, ce qui, en mon sens, est un avantage car ceci permet de dynamiser le combat (mais par contre, réfléchissez à 2 fois avant de lancer un combat car il faudra vous assurer de le finir!). De plus, alors que les personnages avaient un style de combat prédéfini dans FFX (Tidus sera au corps à corps, Lulu mage noir, bien qu’il sera possible de leur attribuer d’autres capacités), ici, nous pourrons choisir la façon dont se battront nos héros grâce aux vetisphères, qui, en plus de vous permettre d’être une fashion victim, car ces dernières changent le skin des personnages, vous permettront de choisir votre style de combat : si vous utilisez la vetisphère mage noir, votre personnage se battra comme tel, mais il est possible de changer en combat de vétisphère, rendant ainsi plus libre et plus stratégique la formation employée en combat. Le système de changement de sphère est simple, il suffira juste de changer de sphère en suivant les liens des palettes. Qu’est-ce qu’une palette ? Imaginer une … hum… palette (oui bon ça va) avec des trous ronds pour y mettre des sphères (les vetisphères). Ces trous, que l’on appellera « nœuds », seront reliés entre eux par des sillons que l’on nommera « liens ». Pour changer de vetisphères, il faudra passer d’un nœud à l’autre en suivant un lien. Vous ne pourrez faire qu’un chemin à la fois par tranche de temps, et ainsi, si vous devez atteindre la vetisphère qui se trouve 2 nœuds plus loin, vous devrez ainsi faire 2 changements de vetisphères. Ca peut paraître un peu nébuleux, mais voici un lien vous guidant vers les différents palettes existantes : http://www.finaland.com/?rub=ff10-2&page=palettes.

« D’accord, on a compris, y a plein de boules magiques qui font changer d’habits. Mais c’est tout ce que tu as à nous dire ? » Eh bien, mes amis, je vais vous avouer que l’intérêt de la suite entre FF X et FF X-2 est la trame scénaristique. Et je pense difficilement pouvoir vous parler du X-2 sans spoiler quoi que ce soit. Et croyez-moi, vous préférerez découvrir l’histoire par vous même plutôt que de le lire. Et ainsi, peu de changements sont notables entre ces 2 opus : les musiques changent, certes, mais je ne pense pas avoir eu d’émotions aussi puissantes qu’Arnaud a eues en jouant au X ; les graphismes sont les mêmes que le précédent opus : excellents pour l’époque et beaux aujourd’hui avec le remake HD, mais malheureusement, je pense difficilement pouvoir creuser longtemps sur ce jeu. Il est excellent, ne vous méprenez pas de mon manque d’engouement, mais je préfère vous laissez découvrir le tout par vous-même. Je vous retrouve Dimanche pour un hors-série rédigé par Arnaud et moi-même sur FF X/X-2 HD Remaster et nous vous ferons part de nos impressions quant à ce jeu (qui, malgré le peu de temps passé dessus pour ma part, est déjà incontournable).

YRP

source : newpsvitagames.com

Augustin